On a passé une trop bonne soirée !
Retour sur la Journée mondiale du refus de la misère célébrée à Bruxelles (Belgique), le 17 octobre 2017
Nous étions plus de 700 au Théâtre Saint-Michel à Bruxelles pour échanger nos bonnes idées et vivre une série de spectacles hauts en couleurs !
Dans deux grandes salles où étaient disposés les stands, une foule de personnes, issue de tous les milieux sociaux, a pu se rencontrer et découvrir les divers ateliers préparés par les associations coorganisatrices. Les gens venaient de Bruxelles, mais aussi d’Ostende, Charleroi, Liège, Renais… et partout ailleurs en Belgique ! Bilinguisme et convivialité feraient-ils bon ménage ? Cela a été notre sentiment.
Entre les buffets de L’îlot, Woningen 123 Logements et Rencontre des continents, la roue d’Habitat et rénovation, les animations artistiques du Pivot et du Maître Mot, pour ne citer qu’eux parmi les trente partenaires présents, il y en avait pour tous les goûts ! Et pour ceux qui ne pouvaient pas être là, RCF Bruxelles et Radio Panik émettaient en direct pendant deux heures depuis l’événement.
Vers 19h40, ouverture des portes du théâtre. La soirée commence par une dizaine de témoignages de personnes ayant connu la misère et d’autres se battant à leurs côtés.
- « J’ai souvent mené la vie qu’on attendait de moi. Jusqu’au jour où je me suis dit : qu’est-ce que je veux à la fin ? Et ça, je vais le faire » – Pascal
Ces interventions se sont finies sur le chant de Bangui « Zo kwe zo », entonné au départ par quelques choristes présents dans la salle et repris ensuite par le reste du public. Les spectacles sont ensuite montés en intensité avec les scènes de théâtre-action des courageux jeunes de Luttes Solidarités Travail, puis le rap explosif des jeunes de Betonne Jeugd.
GRANDGEORGE, l’invité spécial de la soirée, a clôturé la soirée avec ses belles chansons qui ont fait danser quelques spectateurs sur leurs sièges.
À vous tous qui êtes venus et qui avez permis que cette soirée soit une réussite, on ne vous dit qu’un mot : merci !
Photos © Chrystelle Herschdorfer du Pivot